Je suis revenue…comme les fourmis en printemps…tous les ans elles insistent à traverser notre maison (j’imagine que c’était leur ancien chemin) …tous les ans j’essaye de convaincre les « premières pionnières » avec des moyens plus ou moins « pacifiques » de changer la trajectoire…et tous les ans j’échoue et ça fini en tragédie écologique…je suis désolée …j’ai du mal à vivre avec une autoroute quatre voies de ces spécimens dans ma cuisine!!
He vuelto…como las hormigas en primavera…todos los años insisten en cruzar nuestra casa (me imagino que era su antiguo camino)…todos los años intento convencer a las « primeras pioneras » con métodos más o menos « pacíficos » de cambiar la trayectoria…y todos los años fracaso y la cosa termina en tragedia ecológica…lo siento…se me hace duro vivir con una autopista de cuatro carriles de esos especímenes en mi cocina!
avril 21, 2008 à 4:25 |
J’en étais ENVAHIE a la Réunion, LES CRISES DE NERF !!!
Contente de te voir de retour 😉
avril 21, 2008 à 9:17 |
donc ça marche pas non plus chez toi d’en écraser un tas et de laisser les cadavres sur place histoire que les suivantes flippent et fassent demi tour ?
avril 21, 2008 à 9:21 |
@calaly: contente de te retrouver.
@opio: Tu parles!…on dirait des irlandais en train de fêter des funérailles!!!
avril 22, 2008 à 10:44 |
Ah les fourmis !! Je connais!! quel cauchemar !!
avril 23, 2008 à 4:26 |
¡Buenas! Si echas polvos de talco por el recorrido q hacen al final acaban desistiendo y no vuelven a pasar… y ¡sin matarlas! No se por qué, pero funciona y huyen…
Un besito… muy buen blog, como la vida misma 😀
avril 24, 2008 à 12:49 |
@Imil: lo intentaré, gracias Imil.